Grand palais d'Angkor

La construction de quartiers d'habitations et de palais provinciaux est remise à plus tard. Nous déboursons les sommes demandées pour tout le reste.

Nous déboursons 500 Taels dans la construction de fortifications à la frontière avec le Lavo. Nous commençons l'entassement de vivres pour une hypothétique future campagne militaire et lançons l'entraînement immédiat de toutes nos troupes. Ils devront faire des entraînements réguliers pour être prêts. Apprenez-leur à se battre sur tous les terrains possibles, même les plus durs.

Nous désirons mettre en place un système de milices provinciales. Ainsi, chaque province devra entraîner un dixième de sa population et préparer l'armement de cette milice à tout moment. En cas d'invasion, nous pourrons donc disposer d'un soutien populaire et retarder l'invasion le temps que les troupes impériales arrivent. Les milices provinciales seront placées aux ordres du capitaine affecté à leur entraînement en cas d'invasion du territoire impérial.

Nous installons une académie des officiers en notre capitale. Elle devra accueillir tous les postulants à des grades d'officiers, pour offrir à notre armée un très bon commandement. L'éducation se déroulera sur 2 ans et devra envoyer des soldats chaque année (donc recruter des officiers chaque année). Cette académie disposera d'un système méritocratif : les meilleurs auront les meilleures promotions, les plus mauvais ne seront pas retenus et seront redirigés vers des écoles militaires inférieures. En outre, si des soldats ou des sous-officiers étaient repérés comme ayant un grand potentiel, leur admission à l'académie des officiers pourra être envisagée. Il faudra alors en avertir l'Empereur, qui statuera sur ceci (l'Empereur pourra éventuellement demander conseil au Commandant Suprême et au Maréchal).

Les armées disposeront, en plus du programme d'entraînement mis en place il y a de cela 6 mois, nous lançons l'entraînement aux techniques de guerre Chams, Lavos, Laos et même Chinoises. Il faudrait que nos soldats sachent comment se défendre et attaquer les troupes de ces différentes nations. Cet entraînement sera divisé en plusieurs parties. Tous les 6 mois, et ce durant 4 ans, nos troupes apprendront les techniques d'un peuple différent. Après 4 ans d'entraînement, nous reviendrons à un entraînement plus conventionnel et perpétuel.

Nous mettons en place le développement de nouveaux marais salants sur nos côtes sud-est, notamment, dans le but de disposer d'assez de réserves de sel pour conserver la nourriture que nous entassons depuis maintenant 6 mois. En parallèle de ce projet, et pour permettre une meilleure transaction des biens dans l'Empire mais aussi une hausse du commerce impérial autant que privé, nous mettons en place le développement de nouveaux navires possédants des cales plus grandes, pour transporter plus de marchandises, et avec des voiles permettant d'être moins dépendants du vent et de certains de ses caprices.

Les bureaux de recensements et d'impôts seront désormais aménagés pour servir de banques provinciales. Les paysans pourront se voir accorder des prêts en argent, plus ou moins grands (ça peut aller de quelques centièmes de Taels à plusieurs centaines) pour développer leurs terres. Il faudra favoriser ces mesures dans le delta du Mekong et autour du Tonlé Sap, qui doivent tout deux devenir les centres agricoles de l'Empire. La hausse d'au moins 50% du développement de la ferme sera déductible au niveau des impôts en se rendant au bureau de recensement le plus proche. Cette réduction d'impôt sera calculée en fonction de l'emprunt fait pour arriver à ce niveau de production, de la production de la ferme, des impôts payés auparavant ainsi que d'autres paramètres. Il faudra toujours garder pour objectif que l'état ne doit rien perdre, mais aussi que le paysan doit s'enrichir (ce qui permettra la diffusion de la monnaie dans l'Empire). Ainsi, le paysans gagnera plus sans que l'état ne perde rien (en fait l'état devrait aussi être gagnant), et fera en sorte d'encourager la paysannerie à développer ses terres. Nous encourageons les assemblées à investir dans le développement de l'agriculture en construisant des marchés dans chacune de nos provinces, des marchés accessibles aux paysans comme aux bourgeois sans dérangement administratif pour les participants.

Enfin, nous aimerions lancer des recherches sur les montagnes centrales du Vietnam pour savoir quelles seraient les ressources naturelles à extraire là-bas.

[H.J : Désolé du D-P, c'est du à un oublie]

Nous construisons un comptoir commercial au Sriwijaya.

Nous investissons donc 300 Taels dans la formation de milices provinciales.

Nous installons l'académie des officiers. Les nobles n'ayants aucun titre administratif (c'est-à-dire les nobles qui font parti de l'armée) devront envoyer un de leurs enfants (pas l'aîné, bien entendu) à l'académie. Cet enfant appartiendra alors à l'armée et ne pourra exercer aucune autre fonction ni faire aucune autre étude que celle pour devenir militaire.

Très bien,a lors apprenez les techniques Chams.

Les marais salants sont installés.

Nous annulons la réforme sur la monnaie faute de moyens.

Le comptoir est installé avec 180 Taels. Il sera agrandit et amélioré plus tard par des subventions.

Oui, nous désirons lancer une campagne de prospection pour 50 Taels.

Nous mettons, en plus de tout ceci, 90 Taels dans le ravitaillement et la logistique de nos troupes en Chine. (Est-ce assez, trop, pas assez ?)

Très bien, nous diminuons donc les dépenses pour la logistique de 40 Taels.

Nous décrétons la militarisation de l'état. Désormais, chaque homme devra apprendre, à partir de douze ans, à se servir d'une arme. Des terrains d'entraînements avec prêt d'arme seront installés pour ceci dans chaque grande ville. Le but est, en premier lieu, que notre peuple puisse se défendre contre les envahisseurs, mais aussi d'augmenter nos forces mobilisables. Nous organisons donc une propagande visant à encourager certaines personnes de rejoindre l'armée. Les enfants s'entraînants à manier les armes ne devront pas faire ceci pendant le travail. Ils devront d'abord aider leurs parents à travailler, puis, lors de moments creux dans l'année, aller s'entraîner.

En outre, nous lançons finalement la construction de ne nouveau quartier d'habitation à Angkor, avec un bâtiment religieux qui sera offert à notre religion, le tout pour 1.400 Taels.

En outre, nous installons les palais provinciaux dans chaque capitale provinciale. Les assemblées siégeront là-bas, dans des salles à part, et se réuniront dans la salle centrale. Des chambres seront installés, tout cela pour 400 Taels.

Enfin, nous décrétons l'autorisation aux paysans d'être propriétaires. Pour éviter que la noblesse ne se fasse trop imposante (ne révéler pas cela en public, bien entendu) il faudra aider les paysans à racheter leur terre auprès de leurs seigneurs. Ainsi, les nobles devront vivre sur leur salaire, payé par l'Empereur, et deviendront donc dépendant de l'Empereur, empêchant toute révolte, améliorant l'agriculture et augmentant la stabilité.

Hummm... Nous ne voyions pas les choses comme cela pour les rachats de terre. Nous annulons le décret.

Pour les armes, nous avions préciser qu'elles ne seraient pas aux civils, mais qu'elles leur serait prêter le temps des entraînements, puis reprise lorsqu'ils sortiraient des terrains d'entraînement.

Nous annulons le décret.

Nous ordonnons la création d'un groupe d'inspecteurs Khmers. Ils auront pour ordre d'inspecter les terres agricoles de tout l'Empire et de faire un rapport tous les six mois sur la situation de chaque ferme, de chaque terrain. Le rapport devra être prit en compte par les Assemblées dans la gestion des terres. Chaque paysans peut demander à faire venir dans l'immédiat un inspecteur, pour savoir ce qu'il faut améliorer sur son terrain pour augmenter sa productivité (il y aura une intervalle minimale de trois mois entre chaque demande).

Est démarrée la création d'une grande Académie des sciences et de son annexe, l'Académie agricole, en notre capitale. La première devra accueillir les plus grands scientifiques, intellectuels ou philosophes de l'Empire. Tous les éléments repérés parmi la population comme étant prometteurs pourront être amenés en cette académie, pour qu'ils reçoivent une éducation spéciale et deviennent les futurs intellectuels Khmers. Cette académie pourra aussi servir pour toutes les découvertes scientifiques de la part des membres ou des professeurs.
La seconde devra apprendre à tous les fils de paysans leur métier, en plus de l'éducation qu'ils reçoivent de leur famille. Ainsi, ils seront plus à même de cultiver correctement. En plus de tout cela, cette académie devra introduire progressivement l'argent dans le monde agricole. Nous augmentons ainsi la productivité et rendons possible la réforme quant à la monnaie. Mais en plus d'être un institut, cette académie servira aussi aux découvertes en ce qui concerne le domaine de l'agriculture.

Nous aimerions que le Conseil Impérial nous donne des idées : comment augmenter la population de l'Empire ?

Nous mettons en place des écoles militaires un peu partout dans le pays. Elles auront pour but de donner un véritable enseignement aux futurs soldats et de leur apprendre la vie militaire. Elles devront mettre en place une certaine propagande autour d'elles-mêmes pour augmenter les recrutements. Pour améliorer notre armée, ou du moins son commandement, nous ouvrons une annexe de l'école des officiers dans la deuxième plus grande ville de l'Empire [HRP : Je n'ai aucune idée de son nom, désolé]

Un nouveau port de commerce est bâtit à Oc Eo. Des docks réservés aux Marchands Impériaux sont installés pour faire fructifier leur commerce, tandis que d'autres sont loués à prix très bas aux marchands indépendants.

Enfin, nous ordonnons l'amélioration du grand Baray Oriental, notamment au niveau du déversement de l'eau pour irriguer les cultures et l'établissement de fortifications à la frontière avec le Lavo. Il faudrait que toute armée attaquante puisse être stoppée par ces fortifications (barricades, murs etc...).

Les inspecteurs ne devront pas le faire partout à la fois. Il faudrait que le travail soit réparti pour que tout ceci soit efficace : une certaine période on inspecte telle province, puis on passe à une autre etc... [H.J : Désolé de n'avoir pas développé ce point-là.]

Etant donné que l'avenir de l'Empire est incertain, nous reportons les constructions des académies, et les décrets associés subiront des modifications par la suite.

Nous construisons le port de commerce. Etant donné que les emplacements ne seront loués à pertes que jusqu'en 938, le temps pour les marchands de bien s'établir et de gagner leur vie, puis que les prix vont monter pour atteindre un plafond normal et permettre à l'Empire de toucher de l'argent et d'améliorer sa puissance commerciale et aux marchands de disposer d'un bon train de vie, il semble inutile de payer pour un tour.

Nous payons pour le Baray Oriental et les écoles militaires, ainsi que la seconde école d'officiers.

Pour les fortifications, des constructions progressives durant les prochains mois : on fortifie les passages les plus sensibles d'abord, ensuite les villes et ensuite le reste. Le mieux serait une fortification continue, mais si cela s'avère long, nous ordonnons de privilégier les points de passages facile d'accès pour l'adversaire.

Enfin, nous décidons de lancer un défrichement massif des terres agricoles, dans le but d'augmenter notre production agricole et, par la même, notre population.

Nous dépensons donc un total de 2.800 Taels pour toutes ces décisions.

Nous investissons 200 Taels dans la logistique.

Nous ordonnons l'écriture d'un code de lois, qui devra établir des distinctions entre les citoyens libres et les esclaves (qui seront instaurés avec la création de ce code). Les esclaves auront des droits, et ne seront pas des possessions ; à la mort du maître, un esclave redevient libre, c'est pourquoi son maître doit l'éduquer. Les esclaves sont le fruit des conquêtes, et ils sont en fait mis en place pour permettre aux peuples conquis de s'adapter à notre culture et éviter des révoltes. Une famille ne peut pas être esclave sur plus d'une génération.

Le code de loi se distinguera en plusieurs parties, différentes selon les catégories sociales. L'aristocratie, les marchands, les propriétaires terriens (qui seront distingués en fonction du nombre de terres possédée), les journaliers, les soldats et les intellectuels (qui auront eux-même des distinctions selon qu'ils sont savants, philosophes, artistes ou autre) n'auront pas des lois identiques. Le code de lois n'est pas une forme de pouvoir judiciaire mais l'auxiliaire de la justice impériale, qui permet de mettre par écrit les décisions de l'empereur en ce qui concerne les lois.
Ainsi, il sera fait distinction entre les proches de l'empereur et les fonctionnaires impériaux directs (le Conseil Impérial, le Chancelier et le Maréchal), les fonctionnaires indirects et le reste de la population. Les proches de l'empereur et les fonctionnaires directs n'ont aucune autorité supérieure que l'empereur, pas même le Ciel, étant donné que le premier est le représentant sur terre du second. Ils disposeront de privilèges par rapport à leur position, mais les châtiments en cas de trahison seront plus graves.

Le code de lois régira également la famille. Si le père de famille bat l'un de ses fils, il sera jugé et, s'il s'avère être coupable, battu et torturé, pour qu'il souffre autant que son fils à souffert. Si jamais il était prouvé que le fils avait provoqué de façon intolérable son père (coups, refus d'obéissance répétitif), il pourra être acquittée ou la peine pourra être allégée. En outre, la polygamie est autorisée uniquement pour les hommes.
Cette loi sera appliquée par les tribunaux mis en place il y a des années. En cas de désaccord, l'autorité impériale tranchera toujours, et nul autre que l'empereur ne pourra s'acquitter de trancher. Pour les causes les plus graves, seul l'empereur a le droit de juger.

Nous payons.

Nous construisons un comptoir à Ha Noi et un en Taïwan pour 300 Taels, 150 chacun.

Pour fêter la victoire contre l'Annam, nous annonçons que les impôts sont diminués de moitié pour un mois ! Une grande foire sera organisée à Angkor, à laquelle l'Empereur lui-même assistera, pour que l'argent économiser des paysans le soit pour leur pur plaisir et leur divertissement et non par besoin. 200 Taels suffaient-ils à l'organisée ?

Nous ordonnons l’agrandissement du palais royal d'Angkor avec le rajout d'une salle dite "religieuse", qui sera une sorte de mini-temple pour que l'Empereur puisse se recueillir auprès des Dieux. Faites courir le bruit que les Dieux sont les frères aînés du grand souverain Khmer et qu'il doit se recueillir par le biais de ce temple auprès d'eux, pour savoir quels sont leurs désirent et ainsi ne pas les contrariés.

Seul l'Empereur, sa famille proche et quelques religieux désignés par le Dieu sur terre, l'Empereur, pourront entrer dans cette salle pour ce recueillir.

Nous organisons une réunion exceptionnelle du Conseil Impérial ; exceptionnel en la présence de l'Empereur et de délégués de chaque assemblées, mais aussi de personnes choisies par les marchands, les artisans et les paysans. Lors de cette réunion, toute notre population sera concernée, de l'aristocratie à la paysannerie, en passant par les artisans, les commerçants, les lettrés et les fonctionnaires impériaux. Tout ce qui sera retenu de cette séance par l'Empereur le sera pour tous.

"Dans notre désir de satisfaire et de contenter la totalité de notre peuple, nous organisons une gigantesque réunion en notre capitale d'Angkor. Des bâtiments seront mis à disposition des convives, pour qu'ils puissent dormir. Le gîte et le couvert sera également assuré. Nous invitons les classes sociales de chaque bourg à se réunir pour élire des représentants légaux, qui seront tous écoutés à voix égale. Aucune délibération d'aucune sorte n'aura lieu et tout se déroulera en publique, devant l'Empereur et les représentants du peuple."

Nous déboursons 200 Taels, plus si cela est nécessaire, pour la nourriture et les bâtiments (cela ne durera que quelques jours, une bonne semaine pour entendre tout le monde, ce n'est pas un débat). Nous désirons savoir, au terme de cette réunion, quelles sont les demandes et attentes de la population en générale et de chaque classe spécifiquement, quelle est la véritable situation du pays (tous les partis devront exprimer leur point de vue), que faudrait-il faire pour améliorer l'économie et l'armée etc...
Les premiers à parler seront les membres du Conseil Impérial. Ils seront les meneurs de la réunion, après l'Empereur, et donneront le droit de parole à qui le veut. Ils sont tenus de faire montre de respect envers tout un chacun, et l'Empereur se réserve le droit de destituer dans l'immédiat un membre du Conseil au profit d'un délégué provincial ou d'un élu des différentes classes si l'un d'entre eux ne respectait pas cette règle.

Que la réunion s'ouvre désormais !