Grand palais d'Angkor

C'est dans ce palais, témoignant de la grande richesse des Khmers, siège le grand Empereur. C'est ici que seront rédigés tous les décrets et les décisions, qui décideront de l'avenir de notre grand pays.

Nous prenons la décision d'offrir aux nobles ayants participés à nos récentes conquêtes (Champâ compris) des postes administratifs. Nous créons donc le conseil impérial, qui aura pour charge de conseiller l'empereur, mais également de proposer des réformes administratives et de donner son avis sur les propositions de l'empereur. Sont nommés conseillers les nobles ayants eu un rôle décisifs dans les récentes conquêtes, ainsi que quelques religieux et intellectuels. Le poste de conseiller n'est cumulable à aucun autre poste (même militaire). L'empereur ne pourra révoquer un conseiller que sur l'accord du chancelier et du maréchal (c.f suite).

En outre, nous annonçons que les différentes parties de notre empire seront gérées de façon différentes. Désormais, chaque région disposera d'une assemblée nobiliaire et d'une assemblée dite "mixte" (composée de religieux et d'intellectuels). Ils auront la tâche d'administrer les régions de l'empire. Les membres de l'assemblée nobiliaire seront les nobles les plus fidèles et les conquérants des dernières décennies. Les deux assemblées devront discuter séparément, puis ensemble pour prendre les décisions. En cas de litige, un vote par tête devra être organisé. Aucune décision de l'empereur ne pourra être annulée et laissée non-appliquée, bien qu'elles pourront être critiquées. Pour cela, les conseils devront envoyer une missive au chancelier (c.f suite), qui jugera si cette plainte vaut la peine d'être remise à l'empereur. Si des administrateurs se voient coupables d'avoir empêcher l'application d'un décret impérial, ils seront immédiatement démis de leurs fonctions et privés de tous leurs biens.
Les administrateurs peuvent être révoqués par l'empereur n'importe quand et pour n'importe quelle raison (voir même aucune). La fonction n'est cumulable qu'avec un grade de commandant dans l'armée.
L'empereur pourra siéger à ces assemblées quand il le souhaite.

Nous créons en outre le poste de chancelier. Le chancelier sera un intellectuel de l'empire et sera l'homme le plus proche de l'empereur (après sa famille). Il siégera au conseil et pourra demander la révocation d'un membre de ce même-conseil. Il ne prendra ses ordres qu'auprès de l'empereur lui-même. Celui-ci pourra révoquer son chancelier quand il le souhaite. Cette fonction n'est assumable que sur une durée de 10 ans avant la révocation définitive et n'est cumulable qu'avec un grade de capitaine dans l'armée et/ou de maréchal (c.f suite).
La première mission du chancelier sera de fabriquer des documents prouvant notre "parenté" avec l'ancien empereur de Chine, permettant de renforcer l'idée de droit divin de l'empereur Khmer.

Enfin, nous organisons une police d'empire, dirigée par le maréchal. Cette police aura pour mission de surveiller l'empire et de maintenir la stabilité. Elle n'aura pas le droit de commettre des exactions sur les civils et ne pourra emprisonner un homme qu'avec des preuves réelles et concrètes contre lui. En cas de témoignage contre un citoyen de l'empire, il pourra être mis en mise en détention provisoire pour une durée maximale de deux semaines.
Le maréchal ne pourra cumulé que les fonctions de chancelier et/ou de maître du contre-espionnage. Il est à noté que la police d'empire et le contre-espionnage se devront d'être très liés (partage des informations, interventions en commun). Le maréchal pourra être démis de ses fonctions par l'empereur n'importe quand et ne pourra le rester qu'un maximum de 8 ans.

L'empereur décide d'investir dans le développement de la production (agricole et autre). Nous demandons à nos conseillers combien faudrait-il investir pour que cela soit efficace ?

Il nous faudrait également savoir combien coûterait la mise en place d'une académie scientifique voisine à notre palais. En cette académie se déroulera, deux fois par an, une réunion entre tous les scientifiques, philosophes et intellectuels de l'empire.

[H.J : Désolé pour le pavé, mais il fallait que je le fasse. Merci d'avance de me donner les coûts de tous ces décrets, s'ils sont payants ^^]

Nous investissons don toutes ces sommes.

Nous investissons 250 taels dans l'agriculture et 100 dans l'académie.

En plus de tout ceci, nous investissons 500 taels dans le développement massif de nos ports et de notre flitte commerciale. Nous annonçons que l'empereur et le conseil travaillent à la création d'une éventuelle ligue commerciale Khmer.

Nous proposons aux Chamns sous notre domination la création d'une assemblée Chamms, qui siègera au conseil impérial. Le but de l'assemblée sera de représenter autant les Chams que les Khmers auprès de l'empereur. Tout comme le conseil, l'assemblée n'aura pas comme charge d'accepter ou de refuser des décrets, mais bien de conseiller l'empereur et, surtout, de représenter le peuple Chams. Cette assemblée sera constituée d'intellectuels, car nous les jugeons plus à même de représenter leur peuple.

Nous proposons également aux nobles de rejoindre notre cour en tant que courtisan (pour la grande noblesse) ou les assemblées administrant nos terres du Champâ (pour la petite noblesse). Ceci devrait permettre une gestion équitable. En outre, nous autorisons la liberté deculte en terre Chams. Nos sujets n'auront pas à se convertir. Néanmoins, seuls les personnalités religieuses de ntre religion pourront accéder à des postes importants.

Nous décidons l'investissement de 500 Taels dans l'élevage d'éléphants, pour améliorer notre armée mais aussi pour le commerce (pour que les éléphants transportent les marchandises ou même qu'on fasse de la vente d'éléphants.) Nous donnons également 300 Taels à la fabrication d'un stock d'armes pour nos armées ; il faudrait améliorer ces armes, soit en utilisant un autre métal, soit en les faisants différentes. Serait-il possible de prendre les technologies Chams (pour les armes et les techniques militaires, mais aussi pour l'agriculture et l'élevage) ?

Nous n'appliquons donc pas notre décret sur la religion.

Nous ordonnons donc la récupération des connaissances en nos terres du Champâ, notamment pour améliorer la production agricole en ce territoire. Nous offrons également une bourse de 500 taels pour développer ces régions et démontrer que nous sommes bons avec tous nos sujets.

Grâce à l'élevage d'éléphants que nous avons fait, nous pouvons nous permettre de mettre en oeuvre ceci : choisissez l'éléphant le plus beau, le plus fort, le plus rapide et le mieux élevé et emmenez-le à l'empereur. Il deviendra l'éléphant impérial, et seul l'empereur aura le droit de l'utiliser. Mettez en place une propagande autour de lui et faites-en "l'éléphant divin", faites en sorte que les gens croient qu'il fut choisi par le ciel pour servir le grand empereur Khmer. Cela ne fera que renforcer notre légitimité en tant qu'empereur et augmentera le respect des gens pour notre puissance divine. Lorsque l'éléphant meurt, choisissez-en un autre et dites qu'il est le nouvel élu.

Nous déboursons les 5 Taels.

Nous ordonnons d'envoyer en accompagnement des Chams les scientifiques les plus nuls de l'empire.
Nous désirerions engager des Chams pour qu'ils se rendent sur la route que prendront nos scientifiques et les érudits Chams. Ils devront les attaquer et tuer les Khmers sauf un (bien entendu, mettez tout en oeuvre pour que ça n'est pas l'air d'être fait exprès) tout en laissant les Chams en vie et en les félicitant pour leur aide, et que l'affaiblissement des Khmers commençait, avant de les renvoyer au Champâ. Bien entendu, le survivant Khmer avertira l'empereur à ce moment-là...

[H.J : Bizarrement, cela coïncidera avec la fin de mes recrutements :roll:]

Y aurait-il un moyen quelconque d'augmenter les chances de réussites ?

Annulez cet ordre. Serait-il possible d'appliquer le plan suivant :

Utiliser un navire Chams (échouer qu'on aurait retaper ou n'importe quoi) que l'on transformerait en brûlot et jetterait sur un port Khmer. Il serait bien entendu arrêter de justesse. En parallèle, une "révolte" organisée par le Champâ serait lancer dans un petit village frontalier, révolte heureusement arrêter grâce à la garnison. Cela devrait suffire à nous fournir un casus belli valide pour faire la guerre aux restes du Champâ...

Avant de lancer l'opération, nous voudrions intérroger le Conseil Impérial : faut-t-il stopper l'invasion du Sri Wijaya ? Il vaudrait mieux lancer un assaut immédiatement et empêcher son extension, voir même gagner quelques terres, plutôt que d'affronter plus tard un ennemi surpuissant, ou bien vaudrait-il mieux éliminer une fois pour toute le Champâ ?

Nous pourrions envahir le Sri Vijaya et, plus tard, lorsque les soupçons pouvant peser sur nous srront retombés, envahir le Champâ. Nos généraux pensent-t-ils qu'en louant des navires à une autre nation le temps d'en recruter plus pour notre usage (d'ici une bonne année supplémentaire) nous pourrions rnvisager une véritable invasion ?
A titre consultatif, nous aimerions avoir l'avis du Conseil.

Nous ordonnons, dans un but de propagande, de ne plus appeler les Chams comme ceci, mais de les appeler "Khmers". Ils ne doivent plus être considérés comme des Chams mais comme des Khmers. Cela ne marchera pas dans l'immédiat, mais dans une à deux générations, les habitants du Champâ seront tous des Khmers et respecteront donc l'Empereur...
En outre, nous favorisons le mariage entre Khmer et Chams, pour permettre l'intégration des Chams à l'Empire. Ils pourront garder leurs coutumes et leurs traditions, bien que grâce à nos précédentes dispositions, elles devraient s'effacer peu à peu...

Nous payons pour la propagande.
Finalement je n'annule pas la mission pour les assassins des scientifiques, mais ils devront tuer tout le monde.

Dans le but de renforcer notre administration encore jeune, nous désirons mettre en place dans l'empire un système de provinces. Ainsi, ce ne seront plus des régions, mais des provinces. Nous dissolvons toutes les assemblées pour en reconstituer de nouvelles, composées des éléments les plus fidèles à l'empereur et à l'empire, mais aussi des hommes les plus intelligents et les plus populaires. Tous seront nommés par le grand Jayavarman IV, empereur des Khmers. Les lois régissant ces postes restent les mêmes. Voici la carte des provinces, avec une légende :

1 : Cambodge.
2 : Thaïlande.
3 : Champâ.
4 : Marches impériales.
5 : Angkor.
6 : Kamphaeng.
7 : Vat Banon.

Spoiler:

L'empereur siégera de façon perpétuelle dans l'assemblée de la province d'Angkor, et le chancelier de manière perpétuelle dans la province de Champâ. Le maréchal aura un droit de parole dans les assemblées de la province des Marches Impériales. En outre, l'empereur pourra siéger dans toutes les assemblées qu'il souhaite, selon son bon désir, et aura toujours un avis dominant sur toutes les décisions. Un homme faisant parti d'une assemblée ne pourra pas disposer d'un poste militaire (mais pourra disposer d'un second poste administratif -chancelier exclu-).

Pour améliorer notre système de collection des impôts, nous créons des bureaux de collectes des impôts. Ces bureaux, installés dans chaque province, compterons de nombreux collecteurs d'impôts et des listes. Chaque homme et/ou famille devant payer des impôts devra être noter sur ces listes, ainsi que l'endroit où il habite et ce qu'il doit à l'état. Ainsi, chaque fois que la collecte arrivera, nous saurons où chercher, combien on nous doit et qui n'a pas payer. Les impôts reviendront aux assemblées qui, elles-mêmes, paieront des impôts à l'empereur. De même, un expert au service de l'empereur tiendra une liste des dus de chaque région en fonction de ce qu'elle gagne, grâce à une analyse des listes, pour éviter la disparition mystérieuse d'argent.

Dans l'optique de rendre une justice plus correcte envers tous les citoyens de l'empire, nous prenons la décision de mettre en place des tribunaux impériaux. La justice sera exercée par les assemblées. Lorsqu'une personne sera jugée, les deux assemblées choisiront, séparément, une personne chacune. Ces deux personnes ne devront pas connaître le jugé. Ils seront alors deux juges.
La Justice, avec un grand J, sera dirigée par l'empereur lui-même, secondé d'un ministre de la justice. Ce ministre aura un droit de parole, donc de conseil de l'empereur, pourra proposer des réformes et même en faire passer sans les proposer à l'empereur (pour les réformes sans grand impact), mais n'aura en aucun cas le droit de refuser un décret de l'empereur ni d'en faire passer un sans son autorisation. Si des preuves attestant que les juges ont prononcés un jugement partial sont présentées aux assemblées, un jugement pourra être fait de nouveau avec de nouveaux juges.
Pour continuer dans le domaine de la justice, nous décrétons l'autorisation aux paysans d'être propriétaires fonciers [H.J : Au cas où ce serait pas fait.]. Les paysans pourront donc désormais légitimement posséder des terres. En outre, les assemblées ne disposeront pas du droit d'augmenter les impôts des paysans, seul l'empereur disposera de ce pouvoir.

En plus de tout ceci, nous décidons de réformer notre système militaire. Nous divisons les soldats en plusieurs armées de 2.000 hommes chacune. Chaque armée aura une spécialité (infanterie, archers, cavalerie lourde, éléphants etc...) et disposera d'un commandant adapté à cette spécialité. En outre, avant chaque bataille, de la nourriture et de la boisson seront distribués aux combattants. Les commandants devront régulièrement faire des discours pour enthousiasmer les troupes, pour les rendre plus apte à combattre les ennemis de l'empire !
Nous réformons la disposition des unités également. Une unité de 1.000 hommes d'infanterie sera désormais composée de 500 piquiers et de 500 hommes d'armes (qui manient l'épée ou la hache ou d'autres armes du genre). Une unité de 1.000 archers sera composée de 300 archers, 300 arbalétriers, 300 lanciers et 100 tireurs de sarbacanes. Une unité de cavalerie légère sera composée de 800 combattants au sabre et de 200 archers montés. Enfin, une unité de cavalerie lourde sera composée de 300 lanciers et de 700 hommes d'armes.

Afin de favoriser notre économie, nous décrétons la monétisation de notre système économique. Désormais, il faudrait que nous utilisions le plus possible la monnaie, tout en faisant disparaître le troc. Cela devrait favoriser notre expansion économique. Au niveau du commerce, nous favorisons une politique d'ouverture commerciale et de facilitation du commerce indépendant. Ainsi, tous les armateurs/marchands le désirant pourront commercer avec d'autres nations ou d'autres armateurs/marchands sans être inquiété par la couronne. Ils devront néanmoins payer des taxes à l'empire, bien entendu.

Enfin, nous lançons la construction d'un temple-montagne sur la colline de Phnom Bakheng, une colline surplombant la plaine d'Angkor de soixante mètres. Nous désirons en faire une représentation du Mont Meru, le centre de l'univers et la résidence des Dieux. Ils nous remercieront ainsi et feront de notre règne un règne long et auréolé de succès !

Nous investissons donc 550 Taels dans la réorganisation territoriale, 450 dans la réorganisation politique, 300 dans la justice, 500 dans l'armée et 600 dans le temple.

Nous décrétons qu'à partir de ce jour et ce jusqu'à ce qu'il en soit décider autrement, les impôts ne pourront plus être perçu qu'en argent. Ainsi, plus aucun paiement en nature ne sera accepter. Pour permettre aux paysans de payer leurs impôts, l'état installe le système suivant dans les bureaux d'impôts : chaque bureau devra accepter d'échanger des avoirs en nature contre de l'argent. Les paysans sont encouragés à échanger ce dont ils ne se servent pas pour obtenir de la monnaie et augmenter l'utilisation d'argent dans l'Empire.
A partir de désormais jusqu'à dorénavant, la monnaie de l'empire sera le Riels. Nous organisons le change de toutes les pièces de monnaie en Riels dès maintenant.
Nous aimerions savoir ce que notre conseil aurait à nous conseiller quant à la favorisation du système monétaire. Quelles réformes faudrait-il faire pour parvenir à le mettre en place ?

Nous désirons mettre en place le poste de maître suprême des armées Khmers et le poste de commandant suprême. Le premier ne pourra être occuper que par un membre de la famille royale, désigné par le ciel lui-même. Le plus souvent, ce sera à l'empereur ou à son fils aîné de remplir ce poste. Il sera, comme son nom l'indique, le titre du dirigeant suprême et incontesté de l'armée. Son avis prévaudra sur tous les autres en matière militaire et nul ne pourra critiquer une décision. Mais être maître suprême des armées Khmers devra être autre chose ; cela devra signifier d'avoir été choisit par le ciel pour remplir le devoir d'être le maître des armées. Il faudra mettre en place une propagande autour de ce poste au sein de l'armée.
Le commandant suprême sera, lui, une sorte de second du maître suprême. Il sera choisi parmi la noblesse guerrière de l'empire et élu par ses pairs.

Nous créons les marchands impériaux ; ce sont tous les marchands qui acceptent de mettre leurs talents au service direct de l'empereur et d'agir sous sa protection et de part sa grâce. Ces marchands disposeront des droits suivants :

-Réduction des droits de douanes dans tous les ports impériaux et dans tous les comptoirs à l'étranger de 15%.
-Possibilité de commercer comme ils l'entendent sans restriction aucune.
-Protection de la marine impériale.

Leur seul devoir sera de commercer avec les ressources impériales et d'en rapporter plus. Ainsi, ce avec quoi ils font des transactions sera la propriété pleine de l'empereur. Ce dernier offre une entière confiance aux marchands impériaux. Néanmoins, si une trahison ou un non-respect des lois impériales par un marchand impérial est constaté et prouvé, ce dernier se verra déposséder de toutes ses possessions marchandes et une compensation sera prise sur ses possessions personnelles, en plus de son envoie en prison pour un certain temps.

Nous organisons de vastes projets de construction en notre capitale sur la plaine d'Angkor. Il faudrait construire de nouveaux quartiers dits "d'habitation" et, au milieu de ce quartier, un bâtiment religieux digne des Dieux. Ce bâtiment sera, dès la fin de sa construction, offerte à notre religion officielle.
En plus de ceci, nous lançons la construction de routes partants de notre capitale et se dirigeant vers quelques grandes villes, principalement la côte pour le moment.

Enfin, nous désirerions créer des petits palais dans toutes les capitales provinciales (les villes où siègent les assemblées) qui seront offerts à la noblesse et aux assemblées. Ils seront améliorés avec le temps.

Dans le but de mieux connaître la civilisation Chams et d'habituer la noblesse, nous mettons en place la chose suivante : les nobles Chams les plus importants sont invités à notre cour, tandis que les autres sont éparpillés dans toutes les assemblées du pays.

Ha... Très bien, on annule ça. Et pour le reste ?

Nous ajoutons aussi la construction de fortification aux frontières avec le Champâ et le Lavo, et nous commençons à entasser le surplus de nourriture "au cas où". Tout ce qui n'est pas indispensable sera ainsi conservé.