Résumé diplomatique

Résumé diplomatique

Alliances:

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Pactes de non-agression:

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Guerre:

-Champâ

Garantie nationale:

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Protectorats:

(...)

Accords commerciaux:

Sri Jiwawaja
Tang
Wu

Il est envoyée une ambassade aux chefs des tribus Miao avec 17 Taels de cadeaux en guise d'introduction. Sa Majesté souhaiterait lier des amitiés avec les chefs de ces grands et féroces guerriers. D'autres cadeaux pourraient survenir car la noblesse des guerriers Miao et le fait qu'ils combattent conformément aux préceptes chinois est reconnue jusqu'à Guangzhou.

Si les chefs Miao devaient connaître l'art de la patience tel qu'enseigné par maître Kong, peut-être penseraient-ils que nouer des intelligences avec le Sire de Guangzhou leur sera profitable tel le héron qui veille au sommet de son arbre car il ne s'en faudra guère de temps avant que la force des Miao ne se manifeste pour des avantages et prestiges que seuls les Miao peuvent récolter.

Il est proposé un accord commercial aux tribus Miao. Les marchands Han auraient le droit de circuler et de proposer ce qu'ils ont à vendre, y compris des produits de par delà la mer en terres Miao. Les Miao pourraient commercer dans les villes frontalières Han.


Sa Majesté Han l’Empereur de Chine propose aux souverains du Lavo, de Thaton et de Pagan des accords commerciaux ainsi que d’ouvrir des comptoirs à proximité de l’embouchures des fleuves passant par leurs terres.

25 Tael de cadeaux sont envoyés aux Miao afin de renforcer les alliances déjà nouées, assurer le respect des accords commerciaux et renforcer le pouvoir des Miao pro han au sein des arbitrages tribaux.


HJ : Je fais bref car il est tard et que j'ai peu de temps. Comprendre qu'il y a un grand message fleuri derrière avec des hérons, la noblesse du Chrysanthème, tout le bazar et même des frites gratuites s'ils veulent.

Le dignitaire du Ciel, tel le dragon paisible sur sa montagne, se sent honoré que la Cour Cham reconnaisse le caractère central de l'Empire. Il accepte les cadeaux, agrée au pacte de non agression et communiquera les avantages accordés aux marchands Han.

Message diplomatique au Roi de Min.

Au sire de Fuzhou, garant de la stabilité de Min, de ses cités et de ses campagnes.

Depuis des décennies déjà et même des siècles, les Etats du Sud de la Chine sont parvenus à maintenir l’harmonie céleste en ces temps troublés et ainsi le paysan cultive-t-il toujours son champ, l’artisan travaille-t-il toujours à l’atelier, le lettré disserte-t-il toujours avec passion et le roi, dépositaire du ciel, traite-t-il les affaires du monde avec harmonie. Aujourd’hui, un pouvoir du Nord, dont le souverain auto-proclamé n’hésite pas à massacrer son propre frère pour s’arroger le trône, descend en des terres harmonieuses du Sud pour y imposer une loi certes noble mais inadaptée consistant à accorder à des classes vertueuses mais sous formées la gestion de nombreuses affaires, y compris celles de l’alignement des grains de riz dans la rizière, le droit de disserter sans façon sur de nombreux sujets et la gestion du mandat du ciel par l’homme du commun.

Le souverain Tang, en effet, en redistribuant la terre aux paysans sans parcimonie ni retenue, couve un incendie propre à anéantir les outils mis en place par les gens instruits pour la préservation et l’accroissement de l’harmonie et du Tao. Quelles études scientifiques et littéraires pourraient être réalisées si les ressources des gens de lettre venaient à diminuer ? Quelle justice, harmonie ou ordonnancement de l’univers pourrait être assuré si l’administration des affaires devait être exercée par une foule tumultueuse au lieu de personnes compétentes ?

Devons-nous, nous, seigneurs du Sud, accepter une telle situation de la part d’un usurpateur nordiste prêchant la division à son profit. La guerre contre Wu ne cache-t-elle pas une autre ambition, un danger plus grand, la tentation de soumettre au commun peu éduqué la gestion des affaires de ce monde ?


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Un message de la même teneur est également diffusé en sous main aux milieux marchands ou dépendants du commerce, victimes des croisières Han et potentiellement victime d'un remembrement des terres.

Sa Majesté l'Empereur de Chine de la Dynastie Han propose aux clans Ozumi et Hata un accord commercial.

Les marchands chinois seraient intéressés par des produits japonais tels la laque ou encore des épées de qualité.

De leur côté les marchands sont en mesure de proposer de nombreux produits d'Inde et d'Insulinde ainsi que leur propre production de poteries, porcelaines et biens de luxe.

L'Empereur Liu Yin partage l'avis du premier ministre de Chu quant à une présence Tang trop au Sud.

Le nouveau souverain de Chu envisage-t-il d'annexer l'intégralité du territoire Wu encore indépendant et situé au Sud du fleuve ?

L'Empereur Han trouverait plus commode que les actuelles terre encore sous contrôle Wu et sous contrôle Chu lorsque le manoeuvre du Roi sera achevée soient instituées en un Royaume tributaire de Chu mais indépendant.

L'Empereur accepte.

L’Empereur Han souhaite rétablir des relations cordiales avec le Prince de Min et désirerait s’assurer de la bonne entente mutuelle en proposant au Prince un accord de non agression valable dix années.

L’océan est assez vaste pour deux...

L'Empereur Han est fort inquiet des velleités impérialistes Khmer et n'a point oublié le comportement et l'attitude fuyante de l'Empereur sudier lors de l'assassinat de lettrés chams par des bandits de grand chemin.

La bonne volonté chams ces dernières années a mené Sa Majesté à s'intéresser à l'indépendance du Royaume et offre de le garantir dans ses frontières actuelles pendant une durée de 10 ans, renouvelable, naturellement.

Sa Majesté Liu Yan souhaite offrir de nouveaux présents aux tribus Miao et conclure avec elles un accord de défense mutuelle. 

Les chefs de guerre trouveront armes serties de pierres, coraux, bijoux, épices et étoffes de qualité dans les coffres à offrandes ainsi que des parfums et des miroirs.

30 Tael de cadeaux.

Sa Majesté propose au souverain d’Harifunchai de renouveler les accords de non agression et de commerce existant entre Annam et Harifunchai à condition que le roi reste neutre

HJ : J'ai du mal à me représenter l'étendue de la bande côtière.



Liu Yan propose à son neveu par alliance Ma Xisheng l'accord suivant :

-Chu récupérera les anciennes terres de Wu que le bandit de Min avait fort grossièrement pris aux expectatives de son glorieux père, ancien adversaire honorable et honoré de Liu Yan.

-La Dynastie de Nan Han récupérera le Min d'avant la guerre de Tiancheng et abaissera ses taxes de 5% au profit du Royaume de Chu, à l'exclusion naturellement des entités dépendantes de lui.

-Enfin l'Empereur, soucieux de la pérennité de ses liens familiaux, sera naturellement disposé à appuyer la légitime campagne du seigneur de Chang'sa si le ladre autrefois défait par son père devait tenter de secouer la juste férule à laquelle il est soumis.