Ministère de la guerre

Forces mobilisables: 6 400


Forces mobilisées: 6 000

• 2 unités des monts et forêts (2 000)
  
• 1 unité d'infanterie (1 000)
  
• 1 unité d'archers (1 000)
  
• 2 unité de cavalerie légère (2 000)

Restant: 400

Le Royaume d'Ü lance la mobilisation de:

• 2 unités de soldats des monts et forêts (1 900 hommes)
  
• 1 unité de cavalerie légère (1 000 hommes)

Cout total: 9 + 1.8 = 10.8 taels


HRP: Je n'ai que 2 900 hommes à ma disposition. Je récupère 100 hommes moins expérimentés, j'ai une réduction ou je l'ai dans l'os?

20 % plus cher, ok.
100 mercenaires des monts et forêts, ça fait 0.3 en recrutement et 0.06 en entretien.

Ça fait passer le coup total du recrutement à 9.3 + 1.9 = 11.2

Opération d'occupation et de prise de contrôle de la vallée de Yarlung

Objectifs: Il apparait que l'armée de Yarlung, avec la mort du chef de ses armées, doit être profondément désorganisée et impropre à combattre, d'autant plus qu'une partie importante de ces élites ne souhaite pas entrer en guerre conte nous.
Il est donc essentiel, d'autant plus du fait que nous soyons en légère infériorité face à Yarlung, de faire que cette guerre ce règle vite! (Blitzkrieg!)


Déroulement: L'ensemble des troupes (3 000 hommes) se trouve concerné par ces ordres. Il faut rapidement mettre sous coupe réglé les villages et centre de population majeur, afin d'éviter la levée d'une armée. Afin de ce faire, nos troupes vont appliquer la stratégie suivante:
Les troupes utilisés sont légères et donc très rapides, et d'un autre coté, la configuration du terrain est assez unique, il s'agit d'un ensemble de vallées alignées, séparées par des cols. On part donc de notre royaume, territoire que nous contrôlons, et nous verrouillons les cols, de telle sorte qu'aucune armée ne puisse menacer les vallées sous mon contrôle. L'armée de décompose en trois ou quatre petit groupes composés de cavaliers et d'infanterie, afin de couvrir une vallée sur plus de longueur. Puis, les troupes avancent de cols en cols en territoires de Yarlung, perpendiculairement aux vallées adjacentes, mettant de facto sous coupe réglée celles-ci et leurs habitants. Le contrôle de ces vallées devrait assurer un ravitaillement correct pour l'armée en campagne, ceci couplé au soutiens des lamaseries et demeures de nos soutins. De plus, du fait de la relative popularité de noter roi, ces populations ne seront que peu encline à se révolter. La sécurité sera assurée par les élites favorables dans les vallées où il y en aura, par des corps de guets formé depuis 925 dans les autres.
La progression de col en col devrait permettre d'assurer une progression assez rapide avec peu de perte, d'autant plus que l'armée ne devrait pas avoir le temps de ce former en face, et que la prise de ces vallées devrait réduire leur potentiel de levé.. Depuis les cols, il est aisé de voir loin, ainsi dès qu'un groupe armé imposant est vu, des cavaliers sont envoyés aux autres groupes armés pour former un important corps d'armé et défaire le groupe ennemis, selon deux stratégies:

• En l'attendant en haut du col avec un avantage non négligeable, se servant des cavaliers comme archers, et repoussant l’ennemi par l'infanterie et des pièges, comme des éboulements par exemple.
  
• En lui déferlant dessus par surprise (l'armée est composée de cavaliers et d'infanterie légère) si celui-ci ne s'en doute pas, cavaliers en tête, d'autant plus que l'attaque tomberai sur le flan de l'armée adverse.
  
• Une autre tactique, si plus approprié, serait de faire descendre un groupe dans la vallée en amont, un en aval, et un troisième depuis un col, afin de prendre l'armée ennemis sur trois flans par surprise et la défaire aisément.

La choix de la tactique est laissé à l’appréciation des commandants sur le terrain, en fonction du comportement qu'ils jugeront optimal.

La prise de la capitale, Yumbulagang, doit se faire le plus rapidement possible. L'absence de réelles fortifications devrait rendre la chose faisable. Il convient de mettre le siège devant la ville. Leurs réserves de nourritures doivent être faible, et notre réseau de ravitaillement est relativement efficace. L'idéal serait de convaincre le roi de Yarlung d'abandonner la couronne, couronne illégitime, en échange de notre pardon et de son intégration à notre cours. La défection de certain de ces hommes et les victoires rapides de notre armée devrait l'aider à faire ce choix.

Il est primordial de ne pas se laisser aller à une comportement barbare avec les civils, nous sommes des libérateurs libérant ces populations d'un joug illégitime, pas des envahisseurs. Les populations ne doivent pas se voir ponctionner autre chose que des vivres, et en quantités raisonnables, tout en leur faisant profiter de nos propres améliorations dans le domaine de l'agriculture. Néanmoins, en cas de révoltes, ne pas hésiter à ce montrer ferme!

J'ajouterai que des fonds peuvent être débloqué pour aider nos soutiens à lever d'éventuelles troupes!

Nos troupes désarment l'armée ennemi le temps d'assurer la transition de pouvoir. L'état de démoralisation, la capture de la famille royale et la supériorité numérique devrait faire que ceci soi tassez facile. Les unités (1 unité de cavalerie légère, une d'archers et une d'infanterie) seront intégrées ultérieurement au sein de l'armée du royaume d'Ü, une fois la situation stabilisée. La famille tenue en otage devra aider dans ce sens. Si les héritiers susceptibles ne veulent pas coopérer, alors les enfermer.
Nos troupes se dispersent ensuite dans les grands centres urbains du royaume histoire de s'assurer qu'aucun noyau de rébellion ne voient le jour.

La noblesse locale est confirmée dans ses titres, et pardonnée de son soutien à l'ex illégitime roi de la vallée de Yarlung.
La famille royale et notre souverain Yumten Tsenpo viennent s'installer à Yumbulagang, capitale de Yarlung et capitale originel du royaume d'Ü. Ceci devrait assurer le calme dans la capitale.

Il est temps de mettre fin à la division de l'Empire Tibétain!
Les Royaumes d'Ü et de Lhassa sont officiellement toujours en guerre depuis la déliquescence de l'Empire Tibétain, et seule une trêve existe. Attaquer nous est donc permit selon le Tao.


Il va falloir se resservir de la tactique de la conquête de Yarlung, puisqu'elle s'est avéré être efficace, tout en la modifiant légèrement afin de dérouter notre ennemi qui aura surement tout appris de notre campagne de par ses réfugiés et prisonniers.

Voici la stratégie à mettre en place:

Armée: 6 000 hommes

• 2 unités des monts et forêts (2 000)
  
• 1 unité d'infanterie (1 000)
  
• 1 unité d'archers (1 000)
  
• 2 unité de cavalerie légère (2 000)

L'ensemble ou presque de l'armée ennemi se trouve en la capital, et se réfugiera dans le Potala si elle n'a pas espoir de vaincre.
Il convient donc de marcher rapidement vers la capital afin de confronter cette armée. Notre armée progressera selon le schéma tactique suivant:

Les troupes utilisés sont légères et donc très rapides, et d'un autre coté, la configuration du terrain est assez unique, il s'agit d'un ensemble de vallées alignées, séparées par des cols. On part donc de notre royaume, territoire que nous contrôlons, et nous verrouillons les cols, de telle sorte qu'aucune armée ne puisse menacer les vallées sous notre contrôle. L'armée se décompose en trois ou quatre petit groupes composés soit d'infanterie/archers au centre de la route de progression, alors que la cavalerie se déplace au sud et au nord à chaque, afin de couvrir une vallée sur plus de longueur. Puis, les troupes avancent de cols en cols en territoires de Lhassa, perpendiculairement aux vallées adjacentes, mettant de facto sous coupe réglée celles-ci et leurs habitants. Le contrôle de ces vallées devrait assurer un ravitaillement correct pour l'armée en campagne. Les lamaseries et autres monastères se font relais de ravitaillement, même si les moines ne devraient pas nous être aussi favorable que durant la campagne de Yarlung, ils ne devraient pas non plus nous combattre activement. De plus, du fait de la relative popularité de noter roi engendré par nos campagne de propagande et la grande vertu de celui-ci. La sécurité sera assurée par les élites favorables dans les vallées où il y en aura, par des corps de guets formé en notre royaume dans les autres, et qui suivront l'armée afin de sécuriser les flans et le ravitaillement.
La progression de col en col devrait permettre d'assurer une progression assez rapide avec peu de perte, d'autant plus que l'armée ne devrait pas avoir le temps de ce former en face, et que la prise de ces vallées devrait réduire leur potentiel de levé.. Depuis les cols, il est aisé de voir loin, ainsi dès qu'un groupe armé imposant est vu, des cavaliers sont envoyés aux autres groupes armés pour former un important corps d'armé et défaire le groupe ennemis, selon deux stratégies:

[list][*]En l'attendant en haut du col avec un avantage non négligeable, se servant des cavaliers comme des archers, et repoussant l’ennemi par l'infanterie et des pièges, comme des éboulements par exemple.
[*]En lui déferlant dessus par surprise (l'armée est composée de cavaliers et d'infanterie légère) si celui-ci ne s'en doute pas, cavaliers en tête, d'autant plus que l'attaque tomberai sur le flan de l'armée adverse.
[*]Une autre tactique, si plus approprié, serait de faire descendre un groupe dans la vallée en amont, un en aval, et un troisième depuis un col, afin de prendre l'armée ennemis sur trois flans par surprise et la défaire aisément.

Il est laissé à la libre appréciation des commandants de choisir laquelle utiliser.


Ceci devrait garantir une progression rapide vers la Capitale.


Une fois à la Capitale, la tactique change. N'envoyer que l'infanterie et les archers dans la plaine étroite de Lhassa. Ils doivent se disposer en travers de la vallée. Leur nombre de 4 000 devrait convaincre l'armée ennemis à accepter le combat. Il convient de ne pas engager le combat au corps à corps. Les archers pilonnent l'armée ennemi, et le reste se protège derrière les pavois des unités d'infanteries et de soldats des monts et forêts. L'armée ennemi, à laquelle est laissé l'initiative d'engager l'ennemi, devrait le faire sous peine de devoir se replier dans le Potala. En cas, d'engagement, les 2 000 cavaliers positionné sur les crètes de par et d'autre de la vallée engage l'ennemi en le chargeant sur le flan. Si la ligne de front venait à tourner, engager alors en chargeant dans le dos, tandis que la vague de face reste à distance et pilonne à l'aide de ses arcs courts.
Une fois que la bataille est gagnée, essayer de neutraliser le plus possible de troupes ennemis avant le repli en la forteresse afin de forcer sa rédition.

Si l'armée ennemi n'engage pas nos troupes et ne se repli pas non plus, alors distraire leur attention par des défis et vocifération afin de laisser le temps à la cavalerie depuis les montagnes de les surprendre sur le flan ou dans le dos.

Si l'armée se repli directement dans la forteresse, ou une fois la victoire acquise, mettre le siège devant la forteresse. Laisser un nombre de soldat légèrement supérieur faire le siège pendant que le reste, principalement la cavalerie par pacifier et assurer le ravitaillement de l'armée en campagne. Le siège ne doit pas mener à l'assaut. Néanmoins, essayer de mettre le feu à la forteresse peu être utile, pas qu'elle puisse réellement bruler, mais que cela épuise les réserves d'eau. Attendre la rédition. Il est proposé au roi de Lhassa de vivre le reste de sa vie en homme libre en moine retiré dans un monastère, accompagné de sa famille, ou bien de partir en exil dans le pays qu'il lui plaira.


Si l'armée ennemi devait venir à notre rencontre, ce qui est peu probable étant donné sa désorganisation et sa non levée totale, la combattre selon une des tactiques ci-dessus, mais en concentrant toute l'armée, régulière et auxiliaire (voir ci-dessous)


Un message est envoyé au Roi de Ngari afin qu'il se joigne à l'expédition, ses troupes seront alors incorporé à l'intérieur des notre comme auxiliaires, et suivront les ordres ci-dessus. Le Roi lui-même sera convié à l'état major et sera libre de prendre le commandement s'il le souhaite d'un escadron de cavalerie ou d'infanterie d'Ü et nomade en cas de bataille.

Un message demandant de sécuriser la frontière de Lhassa avec les contrées nomades, et de capturer tout fuyard et détruire toute armée en fuite ou non est demandé au tribus sous contrat avec le royaume d'Ü. Il leur est aussi demandé d'assurer le calme et la sécurité des terres frontalières. Ceci leur est proposé, et non imposé. Il leur est toutefois imposé en cas d'acceptation de ne pas piller ces terres. Le Royaume d'Ü saura les dédommager de leurs efforts, comme il l'a toujours fait.
Enfin, ils doivent aussi faire attention à d'éventuelles troupes à la solde de Lhassa, et les combattre où les convaincre de passer au service du vainqueur qui saura les récompenser, en exhibant l'or et les armes fournies.