Guerre de l'Altaï (943-)
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Guerre de l'Altaï (943-)
Guerre de l'Altaï
Khanat Mongol Chefferie | Clans turcs Chefferies |
Commandants: Targutaï Altan, héritier du khan | Commandants: Divers chefs tribaux |
Forces en présence: 5.000 cavaliers lourds (4 unités)15.000 cavaliers des steppes (15 unités) | Forces en présence: 12.000 cavaliers des steppes (12 unités)3.000 archers (3 unités) 3.000 cavaliers lourds (3 unités) |
Guerre en Asie centrale!
Asie centrale, premier semestre 943
Asie centrale, premier semestre 943
La guerre éclate dans les immensités désertes d'Asie centrale lorsqu'une horde mongole de 20.000 cavaliers entre dans le territoire des clans turcs orientaux, héritiers de Goktürks, agissant pour le compte d'une de ces tribus. 13.000 de ces soldats prennent d'assaut plusieurs des autres tribus proches, balayant rapidement les ennemis inférieurs en nombre et en qualité, tandis qu'une troupe de 7.000 autres soldats se dirige vers l'ouest et vers les montagnes de l'Altaï, afin de couper les arrières des turcs.
Toutefois, passé le premier choc de l'attaque, de nombreux clans turcs se rallient sous le commandement de la tribu occidentale des Oïriotes, mettant sur pied un ost de près de 15.000 soldats, qui se prépare alors à contre-attaquer...
Pendant ce temps les 7.000 cavaliers qui ont commencé à se positionner à proximité des montagnes connaissent également des difficultés: en effet, les tribus kirghizes et turques des montagnes, archers à pieds et rudes chasseurs, causent des problèmes à n'en pas finir aux cavaliers de la steppe non habitués à cet environnement prompt aux embuscades et où la vitesse perd nettement en importance à la discrétion...
Pertes mongoles:
950 cavaliers sibériens
150 cavaliers lourds
Pertes turques:
1.000 cavaliers sibériens
150 cavaliers lourds
50 archers
Dernière édition par Syllas - Tian le Ven 1 Mar - 20:07, édité 1 fois
Re: Guerre de l'Altaï (943-)
Asie centrale, second semestre 943 - premier semestre 944
La guerre continue en Asie centrale, très longue, compte tenu des immenses distances. Les tribus turciques soumises sont transférées par leurs conquérants vers l'est; au passage, profitant du désordre, de nombreux jeunes guerriers désertent et rejoignent la coalition turque de l'ouest.
Les clans alliés se rassemblent alors et progressent vers le sud-est. Lorsqu'ils ne sont plus qu'à deux jours de cheval des envahisseurs, ces derneirs se replient vers le nord, vivement, aussitôt poursuivis par les turcs. Plusieurs jours durant, les mongols et l'armée coalisée jouent au chat et à la souris, mais les premiers profitent de la nuit pour faire passer discrètement des soldats en contournant l'ennemi, assemblant une force de quelques milliers d'hommes au sud de l'armée adverse. Toutefois, soit que l'ennemi ait découvert par ses éclaireurs la manoeuvre, soit qu'il disposait d'espions, il cesse au cinquième jour la poursuite, et retombe vers le sud-ouest, massacrant au passage plusieurs contingents de ces troupes mongoles. Un renfort de 3.000 cavaliers en provenance de Mongolie échappe de peu au gros de l'armée adverse, confondue avec l'armée mongole de loin.
Durant les mois suivants, les turcs se contentent de rester à distance des envahisseurs, couvrant la terre de cavaliers et d'éclaireurs, interceptant les courriers adverses. La situation des troupes dans les montagnes de l'Altaï, qui s'étaient repliées suite à l'ordre de regroupement, mais n'avaient pas pu faire jonction à cause de la distance à parcourir, devient notablement difficile, comme les tribus des montagnes tombent sur leurs arrières, pendant que les escadrons de cavalerie turque tournent autour depuis l'autre sens.
La dernière année de combats s'est fait globalement au bénéfice des turcs, même si la position mongole dans l'est des terres turciques demeure très forte, et qu'une attaque directe échouerait probablement.
Pertes mongoles:
1.350 cavaliers sibériens
500 cavaliers lourds
Pertes turques:
1.000 cavaliers sibériens
170 cavaliers lourds
5 archers
[HRP]Désolé d'avoir négligé cette guerre, j'ai été assez pris en Asie du S-E... et aussi dominé par une assez grosse flemme, izvinitié.
La guerre continue en Asie centrale, très longue, compte tenu des immenses distances. Les tribus turciques soumises sont transférées par leurs conquérants vers l'est; au passage, profitant du désordre, de nombreux jeunes guerriers désertent et rejoignent la coalition turque de l'ouest.
Les clans alliés se rassemblent alors et progressent vers le sud-est. Lorsqu'ils ne sont plus qu'à deux jours de cheval des envahisseurs, ces derneirs se replient vers le nord, vivement, aussitôt poursuivis par les turcs. Plusieurs jours durant, les mongols et l'armée coalisée jouent au chat et à la souris, mais les premiers profitent de la nuit pour faire passer discrètement des soldats en contournant l'ennemi, assemblant une force de quelques milliers d'hommes au sud de l'armée adverse. Toutefois, soit que l'ennemi ait découvert par ses éclaireurs la manoeuvre, soit qu'il disposait d'espions, il cesse au cinquième jour la poursuite, et retombe vers le sud-ouest, massacrant au passage plusieurs contingents de ces troupes mongoles. Un renfort de 3.000 cavaliers en provenance de Mongolie échappe de peu au gros de l'armée adverse, confondue avec l'armée mongole de loin.
Durant les mois suivants, les turcs se contentent de rester à distance des envahisseurs, couvrant la terre de cavaliers et d'éclaireurs, interceptant les courriers adverses. La situation des troupes dans les montagnes de l'Altaï, qui s'étaient repliées suite à l'ordre de regroupement, mais n'avaient pas pu faire jonction à cause de la distance à parcourir, devient notablement difficile, comme les tribus des montagnes tombent sur leurs arrières, pendant que les escadrons de cavalerie turque tournent autour depuis l'autre sens.
La dernière année de combats s'est fait globalement au bénéfice des turcs, même si la position mongole dans l'est des terres turciques demeure très forte, et qu'une attaque directe échouerait probablement.
Pertes mongoles:
1.350 cavaliers sibériens
500 cavaliers lourds
Pertes turques:
1.000 cavaliers sibériens
170 cavaliers lourds
5 archers
[HRP]Désolé d'avoir négligé cette guerre, j'ai été assez pris en Asie du S-E... et aussi dominé par une assez grosse flemme, izvinitié.
Re: Guerre de l'Altaï (943-)
Asie centrale, second semestre 944 - premier semestre 945
Les mongols continuent leur campagne, divisant l"armée en deux et envoyant 6.000 cavaliers rapides rejoindre le petit contingent de troupes harcelés par les nomades des montagnes. Ils parviennent à passer en force le rideau d'éclaireurs turcs et à faire jonction avec les hommes de l'ouest. Ces derniers ont étés extrêmement affaiblis par les derniers combats, et étaient sur le point de mourir de faim, entourés par les guerriers tribaux de l'Altaï. Leur grande faiblesse fait que la suite de la manoeuvre, dirigée vers le nord, traîne, et que ça n'est qu'après un mois de repos qu'ils parviennent à se remettre en route...
Pendant ce temps, à l'est, le gros des troupes, entre 8 et 9.000 hommes, se lance à l'attaque des tribus du sud du territoire turc, aux frontières du bassin de Tarim. Les tribus locales opposent une résistance vigoureuse mais vaine, et capitules après deux mois de combat.
Toutefois, alors même que ces combats ont étés gagnés, la nouvelle parvient aux mongols que désormais c'est dans l'est que la situation est compromise. Dès le départ de cette armée, en effet, le gros de l'ost turc est tombé sur les 3.000 guerriers demeurés en arrière pour garder les terres déjà conquises, et c'est avec grande peine que 750 d'entre eux ont réussi à fuir, d'autant plus que les tribus soumises se sont mutinées et ont égorgé dans leur sommeil nombre de guerriers mongols.
Seule bonne nouvelle au début de l'année 945, la troupe de 6.000 cavaliers augmentées des débris des soldats envoyés dans l'Altaï a enfin pu commencer sa campagne dans le nord, dans les steppes touvanes, combattant férocement les tribus locales. La majorité des hommes étant parti à la guerre, ce sont les vieillards, les jeunes et les femmes qui défendent leurs tribus - mais ils les defendent bien, compte tenu de la situation. Qui plus est, les guerriers de l'Altaï n'ont pas cessé de suivre de loin les envahisseurs, guettant une opportunité de frapper.
Dernière information obtenue en écoutant les déserteurs: apparemment, le plus grand des chefs turcs aurait sollicité plusieurs fois l'aide du khan des Karakhanides contre l'ambition démesurée des mongols, et ce dernier aurait commencé à rassembler son armée!
Pertes mongoles:
2.000 cavaliers sibériens
720 cavaliers lourds
Pertes turques:
1.800 cavaliers sibériens
300 cavaliers lourds
150 archers
Les mongols continuent leur campagne, divisant l"armée en deux et envoyant 6.000 cavaliers rapides rejoindre le petit contingent de troupes harcelés par les nomades des montagnes. Ils parviennent à passer en force le rideau d'éclaireurs turcs et à faire jonction avec les hommes de l'ouest. Ces derniers ont étés extrêmement affaiblis par les derniers combats, et étaient sur le point de mourir de faim, entourés par les guerriers tribaux de l'Altaï. Leur grande faiblesse fait que la suite de la manoeuvre, dirigée vers le nord, traîne, et que ça n'est qu'après un mois de repos qu'ils parviennent à se remettre en route...
Pendant ce temps, à l'est, le gros des troupes, entre 8 et 9.000 hommes, se lance à l'attaque des tribus du sud du territoire turc, aux frontières du bassin de Tarim. Les tribus locales opposent une résistance vigoureuse mais vaine, et capitules après deux mois de combat.
Toutefois, alors même que ces combats ont étés gagnés, la nouvelle parvient aux mongols que désormais c'est dans l'est que la situation est compromise. Dès le départ de cette armée, en effet, le gros de l'ost turc est tombé sur les 3.000 guerriers demeurés en arrière pour garder les terres déjà conquises, et c'est avec grande peine que 750 d'entre eux ont réussi à fuir, d'autant plus que les tribus soumises se sont mutinées et ont égorgé dans leur sommeil nombre de guerriers mongols.
Seule bonne nouvelle au début de l'année 945, la troupe de 6.000 cavaliers augmentées des débris des soldats envoyés dans l'Altaï a enfin pu commencer sa campagne dans le nord, dans les steppes touvanes, combattant férocement les tribus locales. La majorité des hommes étant parti à la guerre, ce sont les vieillards, les jeunes et les femmes qui défendent leurs tribus - mais ils les defendent bien, compte tenu de la situation. Qui plus est, les guerriers de l'Altaï n'ont pas cessé de suivre de loin les envahisseurs, guettant une opportunité de frapper.
Dernière information obtenue en écoutant les déserteurs: apparemment, le plus grand des chefs turcs aurait sollicité plusieurs fois l'aide du khan des Karakhanides contre l'ambition démesurée des mongols, et ce dernier aurait commencé à rassembler son armée!
Pertes mongoles:
2.000 cavaliers sibériens
720 cavaliers lourds
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1.800 cavaliers sibériens
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150 archers
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